Nissan e.Dams s’est offert un tir groupé dans les points, ce samedi, à l’occasion de l’ePrix de Rome, septième épreuve de la saison 2018-2019 de Formule E. La marque japonaise voit en effet ses deux pilotes terminer dans le top 6, aux cinquième et sixième positions finales, à l’avantage de Sébastien Buemi, au terme d’une course discrète où l’IM01 s’est retrouvée isolée entre plusieurs groupes de pilotes.
L’ePrix de Rome n’a pourtant pas été aussi simple qu’il n’y paraît pour Nissan e.Dams et ses concurrentes. Les qualifications ont vu tout d’abord la météo se dégrader à l’entame de la Superpole, pénalisant le plus fortement Sébastien Buemi, qui avait de nouveau réussi à placer une Nissan dans ce groupe, après avoir signé le sixième chrono. Un rang qu’il conservera du fait de conditions de piste les plus défavorables par rapport à ses adversaires. Oliver Rowland a lui échoué au douzième rang, converti en dixième place grâce à des pénalités pour deux de ses concurrents.
Le départ s’effectue sur une piste détrempée, mettant l’agilité des pilotes à rude épreuve. Dans cet exercice, nos deux représentants Nissan font des merveilles. En plus d’un envol impressionnant de l’IM01, Sébastien Buemi et Oliver Rowland ne se font pas piéger par les surfaces glissantes. À l’issue du premier tour, ils occupent les quatrième et sixième rangs. La joie est de courte durée puisqu’un drapeau rouge est brandi, les voitures de la douzième à la dernière place sont en effet toutes bloquées dans un virage !
Il faudra attendre une bonne demi-heure avant de voir l’ePrix repartir, sous régime du Safety-Car. Dès lors, Sébastien Buemi et Oliver Rowland vont imprimer leur rythme. Si le suisse chasse dans un premier temps le trio de tête, il perd finalement petit à petit du terrain, mais maintient un écart raisonnable avec Robert Frijns et Oliver Rowland, ses poursuivants. Le britannique fait lui le trou sur le septième, jusqu’à compter dix secondes d’avance.
À l’activation de son second " Attack Mode ", Sébastien Buemi se fait piéger par Robert Frijns et perd sa quatrième place. La gestion des batteries est bonne pour Nissan, qui garde un petit pourcent de plus que les concurrents. Suffisant pour appréhender l’arrivée plus sereinement, avec un peloton dans sa totalité à la limite de la rupture d’énergie en franchissant le drapeau à damier.
C’est finalement aux cinquième et sixième places que Nissan e.Dams termine cet ePrix de Rome. La marque japonaise s'offre de plus le luxe du meilleur chrono parmi le top 10, synonyme d'un point supplémentaire, grâce à Sébastien Buemi.
Un résultat logique à la lecture du rythme de course, qui permet d’engranger 19 unités bien utiles pour le championnat, puisqu’elles permettent de réduire d’un point son retard sur le leader, tandis que le peloton se regroupe derrière. Prochain rendez-vous, à Paris, le 27 avril.
Je persiste et signe !
La FE ne pourra grandir en acceptant de poursuivre sur ce genre de circuit improvisé.
Un gros embouteillage de départ de vacances sur l’autoroute.
Pour une voiture à la faute dans une portion très étroite du circuit, carambolage avec pour conséquence un blocage du passage obligeant à un arrêt de la course de plus d’une demie heure.
Il y a aussi cette bosse amusante où les voitures décollaient des quatre roues comme en WRC.
Un jour, ils la trouveront moins marrante et c’est pas en F1 qu’on accepterait ça !
Je comprends que la discipline doit faire son chemin et se soumettre à quelques contraintes mais depuis sa création, les voitures ont déjà beaucoup évolué.
L’environnement doit suivre sous peine de tomber dans des situations burlesques frôlant le ridicule.
Ceci dit, course attrayante dans la lutte entre les pilotes qui se la donnent sans retenus.
Nombreux dépassement au chausse-pied et aux forceps.
Instruments que Evans n’a pas hésité à utiliser sur son dépassement de Lotterer.
Avec une F1, ça ne passait pas sans casses !
Solides ces Gen2, avec des chenilles, elles vous font la croisière jaune.
Bon résultat des Nissan qui visiblement n’avaient pas le niveau pour inquiéter les tenants du podium.
Lotterer sauve les meubles pour Techeetah. La victoire se refuse à lui. C’est encore manqué !
Vergne ne parvient pas à avoir la constance de la saison dernière.
Il est vrai qu’ici, faisant partie du groupe 1, il n’a pas pu bien se qualifier et son accrochage avec Paffett n’a pas arrangé les choses.
HWA a enfin réglé son problème de transmission fragile.
Vandoorne a pu en profiter et tirer un très bon avantage.
Sa transmission a lâché juste après le drapeau à damier @Captur
https://motorsport.nextgen-auto.com/fr/formule-1/f1-et-formule-e-auront-une-importance-similaire-pour-mercedes,136679.html
@captur,bon le suspense va disparaître dans cette branche aussi!
C’est sûr qu’il faut des moyens mais Mercedes prouve que chez eux il n’y a pas de compromis.
Ils y vont à fond. C’est dans leur mentalité.
Leur honneur en jeu, ils vont le défendre plus qu’à une simple victoire.
Ils ne sont pas dans la sous-estimation.
Ils évaluent à la juste valeur, s’engage pleinement en se donnant les moyens par la suite pour atteindre le/les objectifs, sans concessions.
C’est pas en se retirant de la FE que le team Renault se porte mieux en F1.
C’est pas en rejoignant la FE que Mercedes s’affaiblira en F1.
Qu’on ne me sorte pas que Renault a laissé sa place à Nissan !
L’alliance Renault/Nissan est à l’image de l’échelle Ghosn croupissant au fin fond de sa cellule.
Quant Nissan gagnera en FE et en sera, peut-être, champion, on n’acclamera pas Renault !
A noter:
"Pour la stratégie à long terme de Mercedes, la Formule 1 et la Formule E ont une importance similaire."
"Il n’y a pas de garanties quant au fait que les circonstances externes seront toujours favorables à notre entreprise, donc s’il y a des domaines qui peuvent nous apporter un leadership technologique, nous devons y être performants."
https://fr.motorsport.com/formula-e/news/mercedes-fe-premiers-tours-roue/4364087/
Vu pour Vandoorne.
Il a eu chaud !
https://insideevs.fr/news/344686/vandoorne-chance-panne-rome/
Avec Mercedes, Alpine construit son après Renault et n'aura plus d'excuses
Avec Mercedes, Alpine construit son après Renault et n'aura plus d'excuses
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