Nissan pourrait nominer un pilote japonais pour accompagner Sébastien Buemi lors de la prochaine saison 2018-2019 de Formule E. C’est le média spécialisé e-racing365.com qui révèle l’information dans son édition du jour, évoquant deux noms potentiels : Daiki Sasaki et Mitsunori Takaboshi. L’officialisation du Line-Up définitif pourrait être faite le mois prochain.
Le dossier des pilotes avance du côté de Nissan, qui est actuellement pleinement concentré sur la préparation de son arrivée en Formule E. Les essais privés se poursuivent, avec notamment un roulage effectué tout récemment sur le circuit de Calafat avec Sébastien Buemi.
La marque partenaire de Renault dans l’Alliance souhaite profiter de ces tests pour valider le profil du pilote qui épaulera l’an prochain le suisse. Si ce dernier n’a pas encore été confirmé dans ses fonctions, sa présence ne souffre à priori d’aucune incertitude et ce, malgré ses relations avec Toyota en WEC.
La volonté de Nissan de promouvoir l’un de ses poulains est aujourd’hui connue, et le constructeur est attaché à rappeler qu’il est le premier parmi les marques japonaises à s’engager en Formule E. Daiki Sasaki et Mitsunori Takaboshi sont en ligne avec cette double motivation.
Le premier cité évolue actuellement en Super GT au sein de l’équipe Nissan, aux côtés de Jan Mardenborough, tandis que le second est engagé en Formule 3 japonaise, championnat qu’il a remporté la saison passée. On rappellera également qu’il était en piste avec Renault e.Dams lors des essais jeunes pilotes du mois de janvier.
Il faudra maintenant s’armer d’un peu de patience avant de connaître la décision définitive de Nissan. Une annonce en septembre est espérée selon les informations d’e-racing365.com.
Bon ben.........., quoi dire !
Je suis content d'apprendre une demie officialisation de Buemi dans l'écurie Nissan-eDams.
Pour le second pilote qu'ils y placent un pilote japonais est dans la/leur logique mais pour ce qui me concerne, ça ne me fait vibrer.
Je vais suivre parce que la discipline me plaît et pour croire en l'électrique.
Mon plus, c'était Renault et les pilotes.
Il me reste JEV et Buemi pour sortir mon drapeau et Nissan juste pour faire partie de l'alliance.
Franchouillard/Italianos, je vais me porter sur Alliance Techeetah-DS pour mon côté cuisse de grenouille et pour mon côté spaguetti bolonaise, je suis en attente de la venue de Ferrari FE ou qu'un des pilotes italiens, Edoardo Mortara et Luca Filippi sortent de leur torpeur.
Jusq'au jour où les créanciers demanderont leur dû, Tesla fera flop ...
Les créanciers ont fait un pari.
S'il réussit ou pas, c'est leur problème.
Tesla prouve que l'électrique à de l'avenir et est actuellement dans l'incapacité à fournir ses clients suite à une demande forte.
Une production en hausse engendre des problèmes de qualité, de satisfaire sa clientèle, d'assurer une rentabilité sur l'avenir et ainsi de suite comme un rouleau compresseur mettant à mal l'entreprise.
Le projet a été peut être trop ambitieux mais en rien prouve que la voiture électrique n'a d'avenir.
Mais pas de souci, si elle fait faillite, je vois bien une marque prémium se jeter sur la carcasse pour 1 euros symbolique, s'accaparant ainsi à moindre frais ce standing de l'électrique.
Je ne sais plus quel pays, île ou ville d'Indonésie ou pour acheter une voiture, il faut qu'une quitte le parc suite à sa destruction.
Dans le prix de la voiture chez le concessionnaire, il est compris l'autorisation des instances achetée sur le point vente du net.
Une voiture d'un prix de 30.000 Euros passe à 75.000 Euros.
Chez nous en Europe de plus en plus de grandes villes ferment leur centre ville aux voitures polluantes.
https://www.ledevoir.com/monde/asie/507734/pari-titanesque-la-chine-envisage-l-interdiction-des-voitures-a-essence
Je m'interroge sur le business modèle de Tesla, c'est tout, je ne remets pas en cause la technologie électrique.
Et tu as bien raison alonso130R.
Tu aurais tort de faire le contraire.
C'est bien d'échanger dans la bonne humeur même si on est pas du même avis.
Avec Mercedes, Alpine construit son après Renault et n'aura plus d'excuses
Avec Mercedes, Alpine construit son après Renault et n'aura plus d'excuses
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