Ce n'est pas une théorie idiote. Personne n'y avait vraiment pensé mais pourquoi pas ? Le fait que les ingés rejoignent l'équipe laisse supposer qu'il se trame quelque chose. Pour une équipe sans moyen, ça serait bizarre de signer un contrat la-bas et pourtant ils le font. Avec Renault ou pas, c'est bien la question. Mais je pense que tout est vraiment ouvert aujourd'hui.

L'avantage de Manor sur Lotus pour Renault est double :

-Ne pas passer pour des disons imbéciles (j'ai un mot de 3 lettres sinon) pour avoir vendu une équipe puis la racheter après.

-Pouvoir façonner sa nouvelle équipe qui repart de loin à son image

En outre Manor est complètement épurée de dettes et son prix est sans doute ridicule... Et ne pas racheter Enstone, c'est ne pas faire une croix sur les indemnités de la rupture du contrat de Lotus pour passer au Mercedes ; indemnité qui serait à coup sûre utilisée pour développer Manor.

Mais il est certains que ces 3 renforts de poids cachent quelque chose, on a jamais vu des pointures chez les ingénieurs faire de même, à par Pat Symonds chez Marussia justement, mais lui c'était pour se racheter une bonne conduite et revenir en F1 après le Crashgate donc pas vraiment comparable...

L'autre hypothèse, c'est que Manor pourrait servir de junior team à McLaren-Honda : 2 fois plus de données pistes pour les motoristes nippons et placement de Magnussen et de Vandoorne...

Mais quoi qu'il en soitil se trame quelque chose avec Manor !

@mathieu @ beau dilemme Manor va rejoindre un motoriste ... oui mais lequel????
il y a plus d indices en faveur de Renault mais ici les connaisseurs affirment
à longueur d année "qu en F1 tout est possible à condition d avoir les $"
donc suspens suspens...
l hypothése Lotus/Renault passant en retrait les supporters de Lotus pro Merco pourront continuer à rêver d une hypothétique prochaine victoire ...Maldo ou Grosj...?????
le paddock est bien garni dans cette catégorie en teams et en pilotes; malheureusement pour eux ...;les bons points distribués se sont faits très
très rares ces 3 ou 4 dernières années.

finalement comme d hab on (sup)..p.te on (sup)..p.te et on ne sait rien.....
purée le moderateur de langage ne connait pas le verbe supputer

Manor n'a plus d'usine depuis que cette dernière fut vendue à Haas ... les monoplaces de l'écurie sont assemblées et reconditionnées dans l'usine de l'équipe de F3. Autant le dire clairement : Manor n'a aucune infrastructure.

Mais bon la venue de Bell n'implique pas forcément un lien avec Renault.

Manor n'a plus de dettes (ça reste à prouver), mais bon si c'est pour devoir investir massivement (des centaines de millions d'euros) dans l'infrastructure : la soufflerie, le simulateur, le CFD, les machines outils, les bancs dynamiques, l'usine elle même ...

A mon avis mieux vaut éponger les dettes de Lotus et pouvoir disposer instantanément d'outils performants plutôt que d'attendre 5 ou 10 ans avant d'être opérationnel, oui, car racheter Manor reviendrait à partir de zéro sauf pour la licence.

Repartir de zéro en terme d'image, en engageant Bob Bell comme TP, alias la taupe du crashgate, mouai je trouve que ça le ferait moyen Son nom sera inévitablement associé à ce Gp de Singapour 2008, même si à priori, il n'était pas impliqué.

Parler de renfort de poids au sujet d'un ex Toro Rosso et d'un ex Caterham, je trouve que c'est un peu too much. Les nouveaux propriétaires ont l'air sérieux ce dont beaucoup doutaient au départ, l'engagement de ses ingénieurs et de Mehri qui n'apporte pas de budget en sont la preuve.

Perso je soutiens l'hypothèse d'une écurie junior Honda, la rumeur indiquait d'ailleurs récemment que la prochaine Manor serait sur base de la MP4/30 avec bien évidemment un passage au PU Honda. Entre les pilotes Mclaren (Vandoorne, Magnussen, De Vries) et les pilotes Honda (Matsushita, Susahara), il y a du monde au portillon !

Manor n'a pas racheté les infrastructures de Caterham? C'est ce qu'il me semblait pourtant...

Je viens d'aller sur le site de Manor... J'ai fais le tour de la rubrique recrutement, il y a 24 offres...

Il se trame donc bel et bien quelque chose...

Oui mais c'est pas forcément pour Renault
d'ailleurs Lotus aussi recrute
http://www.lotusf1team.com/jobs/

A mon avis Manor poursuit sa restructuration et la présence de Bell ne prouve rien car Renault n'a encore rien de précis à l'horizon 2017. Manor a une dette avec Ferrari ( pour son moteur) et McLaren (pour l'emploi de sa soufflerie). Ce team ne correspond pas aux besoins du Losange.
Trop tôt pour se faire une idée des intentions de Renault.

Manor le junior team de McLaren mais pourquoi pas le junior team de Renault.

Si Renault rachète Lotus il y a de forte chance pour que RB et TR choisissent un autre fournisseur de PU.

Dans ce cas il faut rentabiliser le PU renault alors il faut au moins une deuxième écurie.

Manor peut servir de rampe de lancement pour les années futures et essayer des choses pour l'avenir (dont les pilotes). Super aguri servait bien à honda pourquoi ne pas rententer la même chose?

Maintenant, développer deux ecuries alors que renault avait été petit bras sur l'investissement des nouveau PU c'est gonflé. Goshn a soit clairement cassé sa tirelire, soit trouver des investisseurs de haut rang pour l'aider soit les deux...

Heureusement qu'avec des "si" on peut tout supposer, mais l'info est tout de même surprenante.

@A130R, pour le crashgate, il n'y a que 3 personnes qui ont été impliquées: Piquet Jr, Briatore et Symonds! Alors pourquoi fais-tu un tel procès d'intention à Bob Bell? Parce qu'à ce moment là, s'il y en a bien un qui a surement été au courant mais qui n'a pas été sanctionné, c'est bien Alonso plutôt que Bell, ne t'en déplaise!
M'enfin quand on voit ton récent commentaire sur le V12 Renault, on comprend rapidement à quel genre de personnage on a à faire...

Le socle technique/infrastructures chez Manor étant proche du néant, ce serait un sacré pari de partir depuis cette base. Ok Total épaulera Renault mais quand même on partirait de loin. Sceptique pour ma part mais à voir la suite!

les capitaines d'industrie sont des joueurs d'échecs, ayant déjà pas mal foirés, ils veillent à tous les cas de figure

et si Renault se la jouait RB justement, rachètant Enstone et Manor, jouer de la synergie (TR n'a pas des infrastructures complètes non plus!), faire baisser les couts et par la meme etre raisonnablement maitre de la situation si RB venait à faire du chantage

L'idée de Manor comme équipe B de Renault me parait aussi bien plausible !

de 1/ ça aidera à développer plus rapidement et des synergies pourraient être mises en place

de 2/ en achetant d'abord Manor, Renault mettrait la pression sur Lotus pour un rachat plus avantageux

Et sinon :

Ferrari et Honda utilisent des jetons dès le Canada ! 3 pour Ferrari et 2 pour Honda...

Du coup voici le point des jetons restants pour cette saison chez les motoristes :

Ferrari 7 (3 utilisés)
Honda 7 (2 utilisés)
Mercedes 7
Renault 12

Donc déjà avec plus de jetons, Renault devait avoir une meilleure marge de progression, mais là, en les utilisant encore plus tard, ça laisse encore davantage de temps pour développer et les utiliser, donc en fin de saison, le PU Renault devrait revenir dans la course !

H.S : Rémunération pilotes F1

Le classement complet de Business Book :

1. Fernando Alonso (McLaren) : 35 milliones de euros
2. Sebastian Vettel (Ferrari) : 28 milliones de euros
3. Lewis Hamilton (Mercedes) : 25 milliones de euros
4. Kimi Raikkonen (Ferrari) : 18 milliones de euros
5. Nico Rosberg (Mercedes) : 13.5 milliones de euros
6. Jenson Button (McLaren) : 10 milliones de euros
7. Felipe Massa (Williams) : 4 milliones de euros
8. Nico Hulkenberg (Force India) : 4 milliones de euros
9. Sergio Perez (Force India) : 4 milliones de euros
10. Romain Grosjean (Lotus) : 4 milliones de euros
11. Pastor Maldonado (Lotus) : 4 milliones de euros
12. Valtteri Bottas (Williams) : 2 milliones de euros
13. Daniel Ricciardo (RBR) : 1.5 milliones de euros
14. Daniil Kvyat (RBR) : 750.000 euros
15. Max Verstappen (STR) : 250.000 euros
16. Carlos Sainz Jr (STR) : 250.000 euros
17. Felipe Nasr (Sauber) : 200.000 euros
18. Marcus Ericsson (Sauber) : 200.000 euros
19. Will Stevens (Manor) : 150.000 euros
20. Roberto Merhi (Manor) : 50.000 euros

En sachant qu'Hamilton vient de faire sauter la banque et touchera 56 millions la saison prochaine

Si renault rachete manor pour en faire son équipe et sachant qu il y a tout à construire je parie pour un projet made in france.
Tant qu a faire un projet sur du long terme pourquoi ne pas creer un pole competition à la française. Apres tout entre renault sport, la formule e , alpine, nissan, la f1 et pourquoi pas psa. Il y a de quoi creer un tissu de sous traitants en france. Il y a aussi ligier , pescarolo et autres.
Avec l appui de total et de l état il y a peut etre quelque chose à faire.
En tous cas racheter lotus c est du resultat sur du court terme mais racheter manor c est un chantier qui ne vaut d etre entrepris que s il y a un gros challenge derriere.
Racheter manor c est juste acheter un ticket d entree sans attache géographique.
C est mon pari!

@cyrilinio l état impliqué dans ton projet industriel = cata
sinon regroupement d entreprises françaises certainement .

oui à la participation de l état pour l image de la France; s il intervient en soutien côté finance ;concrètement en soutenant la promotion d une région créant des infrastructures nécessaires et en favorisant l entretien ;la gestion d un circuit auto; c est là sa vraie place en F1.

nos gouvernants ne comprennent rien à l'industrie c'est peine perdu de ce coté là

L'état n'aide pas pour que la France retrouve son GP alors aider à monter une écurie 100% française, il ne faut pas rêver

HS:

J'ai entendu parler d'un mariage FIAT - PEUGEOT. ..
Quelqu'un a des infos ?

@reload : rien de plus que ça pour le moment : http://www.lefigaro.fr/societes/2015/05/26/20005-20150526ARTFIG00044-fiat-chrysler-recherche-un-nouveau-mariage.php

Marchionne est convaincu qu'il va y avoir des fusions dans le secteur Auto dans les 2 à 3 ans..

Je vois juste l état jouer un role incitateur.
N oubliez pas que le socialiste est interventionniste. Malgres tout ce qu on dit la france a encore de la ressource créative. Il faut juste creer une synergie et recreer un pole compétition auto c est médiatiser ce savoir faire.
En tous cas on a en france nombre d entreprises capables d investir dans ce secteur.
Le sport auto est devenu de plus en plus vert.
Il y a une fenetre qui s ouvre.
Maintenant est ce que c est faisable économiquement et surtout en droit du travail dans un secteur où on ne compte pas les heures....?
Ps . Pas entendu parler d un raprochement fiat psa.

4M pour maldonado ??? vache le vol !! pour l'instant lotus lui a donné environ 6M d'euro en 1 an et demi ...pour 1 petit point recolté par maldonado !!! ca fait cher le point

tu vois c'est étrange que tu parles d'une implication de l'état dans le sport auto français, alors même que l'on vient d'apprendre que Hollande sera au Mans pour le départ des 24 Heures dans une dizaine de jours...
Coïncidence, mais c'est assez drôle!

@asnl
les 4 millions de Pastor sont payés par PDVSA alors que les 4 millions de Romain sont payés à part égal entre Lotus et Total (2 millions chacun )

renault72

"pour le crashgate, il n'y a que 3 personnes qui ont été impliquées"

je ne dis pas autre chose, mais je crois fermement qu'il est celui à avoir révéler l'affaire, son intérêt ? récupérer la tête de l'équipe tout en s'assurant une certaine immunité ! A l'époque la rumeur avait prétendu qu'une autre personne avait assisté au fameux briefing en tant que témoin uniquement et que c'est cette personne qui avait révélé l'histoire. Le nom de Bell avait circulé assez logiquement.

Alonso n'avait aucunement besoin d'être au courant, d'ailleurs je me souviens parfaitement de la conversation radio avec son ingénieur de piste qui lui demande de rentrer au stand à un moment inopportun : Alonso est surpris et exprime ses doutes à cause du trafic en ressortant des stands.

"M'enfin quand on voit ton récent commentaire sur le V12 Renault"

j'ai seulement évoqué un passage de l'Histoire suite à la question de charly2b ... dis donc tu ne feras pas parti des négationnistes de la WWII ?

Les V12 Renault étaient bel et bien montés dans les avions de Luftwaffe, ne t'en déplaise

"on comprend rapidement à quel genre de personnage on a à faire... "

moi j'ai compris le jour où j'ai eu accès à tes posts sur caradisiac ...

Un article plus complet sur les moteurs Renault d'avions :

http://www.hydroretro.net/etudegh/renault.pdf

l'affaire du crashgate a été révélé par Piquet Sr et Jr pour faire tomber Briatore après l'éviction du brésilien à la mi-saison 2009!

Pour les V12 Renault dans les avions allemands j'aimerai avoir des chiffres s'il te plait. Et surtout, il ne faut pas oublier que durant l'occupation, les usines Renault ont été placé sous la tutelle de... Daimler Benz!
parce que tu vois, moi j'ai ceci:
"Nous avons rappelé que les usines Renault furent citées à l'ordre de l'Armement, le 3 juin 1940, pour l'excellence des résultats acquis en faveur de la mobilisation industrielle. En 1939, alors que l'entreprise était l'un des principaux fournisseurs de l'armée française, Citroën et Peugeot continuaient de privilégier le secteur civil, profitant même de la mobilisation des usines Renault pour démarcher les clients de l'entreprise (30) ... La mobilisation industrielle, écrit F. Vauvillier, « entraîne, en principe, l'arrêt complet de la production de voitures de tourisme chez tous les constructeurs. Mais, en fait, seul Renault a effectivement joué le jeu, dès septembre 1939... » (31) . A cela, il faut ajouter que Renault prêtait de l'argent à l'Etat pour les marchés de guerre et que l'entreprise avait consacré des efforts financiers conséquents, en pure perte, afin de répondre aux demandes des différents Ministres de l'Air (32) . Dès le mois d'avril 1939, Louis Renault et Henry Potez furent les deux seuls industriels à s'envoler pour Londres en compagnie du ministre de l'Air et de plusieurs officiers de l'état-major afin de préparer la production de guerre et l'unité de commandement aéronautique franco-britannique (33) . Et en mai 1940, il fut encore le seul industriel français à être envoyé aux Etats-Unis pour accélérer la fabrication de chars en faveur de l'armée française. A cette date, il travaillait personnellement depuis des mois avec le ministre de l'Armement, Raoul Dautry, afin d'améliorer la production de matériel de guerre"

http://www.louisrenault.com/index.php/reponse-a-a

"Les V12 Renault étaient bel et bien montés dans les avions de Luftwaffe, ne t'en déplaise"

sauf que toi tu penses que Renault était le fournisseur officiel de l'aviation allemande (c'est bien vite oublier BMW et bien d'autres...) et qu'il vendait les moteurs de son plein grès! Et bien non. Même s'il y a eu des moteurs Renault dans des avions allemands, les moteurs étaient construits par Mercedes dans les usines Renault qu'ils contrôlaient ou récupérés sur des avions français réquisitionnés. Ce n'est tout de même pas pareil que ce que toi tu voudrais bien nous faire croire. Maintenant libre à toi d'aller contre plusieurs décisions de justice!

"Après avoir constaté que les usines Renault n'avaient pas fabriqué de chars pendant l'Occupation, les juges de la Cour d'appel de Limoges ont précisé qu'il n'y avait pas de lien entre le rôle joué par Louis Renault « durant l'occupation et les cruautés dont furent victimes les habitants d'Oradour-sur-Glane ». Ainsi le Centre s'était-il rendu coupable « d'une véritable dénaturation des faits »(3) ."

"Après la Libération, en 1949, en se fondant sur le travail des experts du tribunal de la Seine, le commissaire du gouvernement a confirmé que les usines Renault n'avaient pas fabriqué de chars pour la Wehrmacht, mais que, dès le début de l'Occupation, elles avaient été contraintes de réparer du matériel de guerre pour l'occupant, ce qu'elles firent sans zèle (70)."

@mariolotus

"alors que PSA l'est.....puisque la firme est maintenant chinoise."

PSA est autant chinois que français puisque l'état français détient 15% du capital, comme le groupe chinois Dongfeng. Mais c'est ça le problème avec les gens qui parlent d'un sujet qu'ils ne maitrisent pas...

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

En 1939, les usines de Billancourt sont parmi les premiers fournisseurs de matériel de guerre pour l'armée française20. En mai 1940, Louis Renault s'envole pour les États-Unis afin d'y accélérer la production de chars de combat et résister à l'avancée allemande21. Il y rencontre le président F. D. Roosevelt ainsi que plusieurs industriels et généraux américains. Mais il est trop tard. En son absence, ses usines sont réquisitionnées par la Wehrmacht et, une fois qu'il est de retour à Paris, deux ateliers, détachés de l'usine, sont contraints de réparer des chars de combat (Renault), à la suite d'un accord intervenu entre François Lehideux, neveu par alliance de Louis et administrateur des usines Renault, le baron Petiet, président de la Chambre syndicale des constructeurs d'automobiles et le ministre allemand Schmidt. Les usines Renault sont en effet passées sous administration allemande sous tutelle de Daimler-Benz.

C'est du Wikipédia, mais il y a surement du vrais.

voici un peu plus de détails Charly.

" Annie Lacroix-Riz a consacré une partie importante de son développement à la prétendue fabrication de chars des usines Renault pour la Wehrmacht (c'est d'ailleurs le titre accrocheur de son texte). Ne nous attardons pas sur les erreurs mineures comme celle évoquant le général "Tuckertort" (sic) - au lieu de Zuckertort (62) - et tentons de résumer une affaire compliquée à laquelle les historiens-biographes de Louis Renault ont consacré un chapitre, lui-même étayé par des dizaines d'archives (63).

Première erreur grave : il n'a jamais été question de fabrication de chars pour les Allemands, mais de réparations de chars français saisis par la Wehrmacht pendant la débâcle de mai-juin 1940 (voir le détail infra) (64).

Seconde erreur grave, dans une citation non sourcée, Annie Lacroix-Riz affirme que « revenu début juillet des États-Unis, (Louis Renault) discuta avec les Allemands pendant « trois semaines [...] sur la question de la réparation des chars (sic) ».

Louis Renault n'est revenu à Paris que le 23 juillet, et n'a donc pas pu s'entretenir « pendant trois semaines » avec les Allemands. Annie Lacroix-Riz ayant à peine survolé le sujet confond en effet François Lehideux et Louis Renault !!! C'est le premier qui a été en contact avec les Allemands depuis qu'il a fait rouvrir les usines de sa propre initiative et avec l'accord de Pierre Laval (65). Quant à Louis Renault, il ne se passe en réalité que onze jours, entre son retour à Paris (23 juillet) et sa dernière entrevue avec un commissaire allemand (3 août). "

" Lors de la réquisition, puis de la saisie provisoire de ses usines par l'armée allemande, les 18 et 24 juin 1940, Louis Renault n'était pas encore rentré de sa mission aux Etats-Unis où le gouvernement de Paul Reynaud l'avait envoyé afin d'accélérer la production de chars destinés à l'armée française. Il rencontra à cette occasion le président Franklin D. Roosevelt à la Maison blanche ainsi que plusieurs industriels et officiers supérieurs américains.

Pendant les trois premières semaines de juillet 1940, François Lehideux est le seul responsable de la direction présent à Billancourt. Lorsque Louis Renault est convoqué par le général Zuckertort, le 31 juillet, les Allemands ont déjà visité des ateliers dans lesquelles ils comptent faire réparer des chars français par l'entreprise (66). Le constructeur cherche vainement à rencontrer un représentant du gouvernement ; en effet, il veut faire partir les Allemands de Billancourt et gagner du temps afin de recevoir des instructions officielles précises. Fin juillet, début août, il ne s'agit pas de savoir si Renault peut réparer du matériel de guerre, puisque cette opération est considérée comme licite par le représentant du gouvernement français, Léon Noël, contrairement à ce qu'il prétendra après la Libération (67) : Hotchkiss et SOMUA se sont déjà mis au travail, Panhard, vient de céder (6. Seul Renault résiste encore. Pressé par l'ultimatum du général Zuckertort, il réclame un délai de dix jours. L'ingénieur allemand Sieburg accepte ce délai à condition que la réparation commence le lendemain pour deux chars. Louis Renault, à qui un membre du gouvernement français a demandé de mettre en place « un simulacre de fabrication », propose donc de réparer le matériel au Mans (où des ateliers sont déjà réquisitionnés par Junkers) sous réserve que le gouvernement français donne son accord."

"Après sa visite à Léon Noël, représentant de Vichy en zone occupée, il retire sa proposition effectuée sous condition, quitte Paris et décline la convocation du Dr Elmar Michel, ministre du Reich, ce que peu de Français auraient osé faire à cette époque. Convoqué le 4 août 1940 au Majestic avec le baron Charles Petiet, François Lehideux en revient au statu quo ante : les chars français ne seront pas réparés sous la responsabilité des usines Renault mais dans des ateliers réquisitionnés par les Allemands sous la direction de leurs ingénieurs et avec du personnel recruté directement par eux.

En effet, la production et la réparation de chars furent réalisées directement par les sociétés allemandes Daimler-Benz et M.A.N. dans deux centres distincts : l'atelier d'Issy-les-Moulineaux, nationalisé par le Front populaire en 1936 - qui n'avait donc plus aucun lien avec Renault - et les ateliers Fiat et Astra, situés au Pont-de-Sèvres (69) (en bas, à gauche sur le plan ci-dessous), eux aussi réquisitionnés par l'armée allemande et sous le contrôle direct de la firme Daimler-Benz.

Pendant l'Occupation, l'intervention des usines Renault s'est bornée à passer au banc d'essai et à réparer des moteurs de chars FT-17, B1 et R35. Aucune fabrication ni montage de chars n'a été effectué par leurs soins."

RENAULT72
Ne pas oublier que les Allemands tirent en partie leur force actuelle de la confiscation de l acier français et des machines outils.......

ça c'est un autre débat dans lequel je ne vais pas rentrer ici car ce n'est tout simplement pas le lieu.

J'ai lu de tes bons livres quitter l'aventure Renault. Je crois que c'est extrêmement réducteur de considérer Louisa Renault comme un collaborateur. C'était avant tout un chef d'entreprise. Mais en France, on a un problème avec ça. D'autres constructeurs ont fait les mêmes choses ou pire pendant cette période mais n'ont pas été inquiétés...

Tu voulais dire Louis Renault, et non Louisa!!!

Oui bien sûr! c'est la '***tain d'écriture automatique qui fait ce qu'elle veut...
Le livre en question c'est "Renault, le culte du défi" de Alain Frerejean. Je vous le conseille.

renault72

"l'affaire du crashgate a été révélé par Piquet Sr et Jr pour faire tomber Briatore après l'éviction du brésilien à la mi-saison 2009!"

le rapport officiel de la FIA mentionne la présence d'un témoin X lors du fameux briefing, témoin dont le témoignage fut capital. Son nom n'a jamais été révélé.

http://www.louisrenault.com

ta source est un site à la gloire de Louis Renault franchement tout est dit !
Trouver le moindre semblant d'étude objective sur le site dédié à ton idole, c'est un peu comme demander à un évêque d'aller chercher dans la bible voir si Jésus ne se serait pas lavé les mains avec Ponce Pilate avant d'aller au méchoui ensemble.

http://img.over-blog.com/636x440/2/65/19/55/PERSONNALITES/110308-H.fr-renault-hitler.jpg

http://img.over-blog.com/400x266/1/47/33/58/Illustrations-carnet--2011/11-05-12-L-Renault-et-Hitler-Sans-titre-1.jpg

preuves que les révisionnistes de l'histoire tentent de faire passer sous silence ... R72 tu es un négationniste, tu refuses de reconnaitre les tords de Renault pendant la seconde GM.

Le débat a déjà eu lieu, mais on va juste rappeler quelque faits : 
 
Renault a des son plein gré des relations avec Hitler : entretien de 2 heures en 1935, exposition des ses modèles au salon de Berlin février 1938 et 1939, avec bien entendu, serrage de louche devant l'objectif des photographes.

François Lehideux, le neveu de l'industriel fut secrétaire d'état à la production industrielle du Maréchal Pétain. Ce François était l'héritier présomptif de Renault.

A la liberation, parmis les nombreuses marques automobiles ( on en comptait au moins une bonne douzaine d'une certaine importance), seule Renault fut nationalisé, et pour de très bonnes raisons que le temps estompe et qu'un certain révisionnisme mis en musique par la petite fille du constructeur ( la soupe est bonne si d'aventure on lui donnait raison ).

Bref, affaire jugée le 11 janvier 2012 avec ce résultat glorieux :

http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/01/11/renault-les-heritiers-perdent-leur-bataille-juridique_1628370_3224.html

Et ce nigaud de Renault 72 qui la ramène : Pas trop malade le vieux grognon pour s'être trimballé à Berlin en 1938 et 39 serrer la paluche au Nazi en chef, alors que ces salons furent boycottés comme de juste par de très nombreux constructeurs occidentaux. 

Affaire jugée donc. Alors, on arrête d'en parler inutilement.
Et merci aux héritiers d'avoir remis sur le tapis cette histoire, oubliée de 98% des gens.
Comme si le constructeur avait besoin du coup de pied de l'âne dans la situation où il se trouve. 

Débiter à longueur de journée sur le thème :

"la responsabilité des marques allemandes pendant la IIème GM"
et soutenir dans le même temps Renault ... désolé de te le dire, mais tu as choisi la mauvaise marque pour cela, elle est loin d'être irréprochable sur ce volet là de l'histoire !

Mais et c'est bien connu, la meilleure défense : c'est l'attaque.

Arrête un peu de te lancer dans tes délires germanophobes ... ah et au passage, n'oublie pas d'imprimer le rapport d'autopsie du saint homme : à encadrer et à mettre sur ta commode avec des cierges autour. Tu sais, ta commode contenant la 20aine de biographie du saint père que tu as lu et relus.

Je vois qu'il est inutile de parler à certains ici... Le débat est vraiment d'une ouverture..., cela fait pitié.

"acheter chinois" ?

alors qu'ils séquestrent des mioches de pas meme 10 piges pour construire moins cher, sans rébellion...

ça ne cesse de recommencer mais les médias oublient juste d'en parler

svp stop à la flagellation

Savez vous où sont fabriqués les smartphones Apple qui coûtent 800 euros

Ils vous fabriquent ce que vous voulez selon votre cahier des charges ( de la camelote ou du haut de gamme) comme partout ailleurs.

Pour m'intéresser au sujet justement il y avait ce lien très explicite

http://www.phonandroid.com/le-vrai-cout-de-fabrication-de-nos-smartphones-pollution-esclavage-conflits-armes.html

A moins de ne plus vouloir téléphoner ou regarder la télé, tous les appareils high tech proviennent de ces pays (quelque soit la marque).

alonso130R
Renault n'est peut-être pas innocent, n'a peut-être pas été exemplaire face au nazisme, peut-être....
Mais ce qui me chiffonne le plus, c'est que certaines personnes qui s'offusquent contre Renault pour leur éventuelle collaboration avec les nais mettent en même temps sur un piédestal une marque 100% d'origine nais puisque voulue par Hitler : Volkswagen!!!!!!
Apres, en 2015, on ne refera pas l'histoire, on peut presque oublier ce qu'une grande majorité (Hitler a été plébiscité) d’Allemands nous ont fait, mais de là à soutenir les marques Allemandes, il y a un pas que personnellement, je ne franchirai jamais!!!!! Je tolère, c’est tout…

@A130R, si tu lis bien le lien que je t'ai donné, il parle justement des rencontres entre Louis Renault et Hitler et démonte point par point (avec des preuves et des archives consultables par tous qui sont mentionnées en bas de la page) tes fumeuses théories.
Parce que reprocher à Louis Renault d'avoir rencontré Hitler AVANT la guerre mais ne pas mentionner le fait que LR a rencontré Roosevelt PENDANT la guerre pour demander d'accélérer la production de char à destination de la France pour vaincre Hitler, c'est un peu fort de café!

"A propos des rencontres Renault/Hitler, il nous paraît essentiel de rappeler le contexte pour éviter les manipulations et les anachronismes volontaires.
Louis Renault a rencontré trois fois le chancelier du Reich avant-guerre, la première rencontre, en 1935, a débouché sur un entretien d'environ deux heures dont nous connaissons aujourd'hui le contenu grâce aux recherches effectuées par Patrick Fridenson dans les archives allemandes (35) . Les deux autres rencontres ont eu lieu aux salons automobiles de Berlin de février 1938 et de février 1939, Hitler ayant effectué une visite protocolaire du stand Renault pendant quelques minutes (un échange total de deux phrases et une photographie publiée dans la presse) (36) .

Ci-dessus Louis Renault au salon automobile de Berlin, le 17 février 1939.

Conformément à l'adage selon lequel on ne lutte pas contre ses concurrents en restant chez soi, Louis Renault profita de sa présence au salon automobile de Berlin pour étudier la KDF de Ferdinand Porsche, la future Volkswagen, qui servit de modèle à la 4 CV, première voiture populaire de l'après-guerre dont le prototype fut étudié clandestinement pendant l'Occupation. Louis Renault s'était déjà inspiré de l'Opel Kadett pour créer la Juvaquatre. Au cours de ses séjours en Allemagne, l'industriel fit en outre espionner les fabrications militaires du Reich, transmettant les informations recueillies aux services compétents de la Défense nationale. Le général Denain, ministre de l'Air, écrivit ainsi à Louis Renault, le 12 mars 1935 :

« J'ai pris connaissance avec le plus vif intérêt des renseignements que vous m'avez transmis le 5 mars, à la suite de votre récent voyage à Berlin. Je les ai immédiatement communiqués à la direction des constructions aériennes et à l'état-major général pour exploitation... » (37) .

Louis Renault avait en effet profité de sa présence au Salon de Berlin pour envoyer une mission en Allemagne afin d'étudier, non seulement les constructions aéronautiques du Reich, mais aussi la fabrication d'obus. De même, en 1937, un collaborateur de Renault parvint à recueillir de multiples renseignements auprès du plus grand laboratoire de recherche aéronautique berlinois - malgré la surveillance étroite des services de Göring. L'année suivante encore, Jacques Pomey et plusieurs ingénieurs de Billancourt réussirent à pénétrer dans l'usine Bayer de Leverkusen et obtinrent des informations sur la mise au point du caoutchouc synthétique. Enfin, trois jours seulement avant l'ouverture du salon de février 1939, Louis Renault envoya une nouvelle mission en Allemagne pour étudier la fabrication des rivets explosifs aux usines Heinkel de Rostock et les fabrications de l'usine Krupp d'Essen(3 .

En février 1939, les Français sont encore hantés par le souvenir de la Grande Guerre. Beaucoup sont convaincus que les récents accords de Munich pourront éviter un nouveau conflit mondial et tout le monde connaît le « lâche soulagement » mêlé de honte exprimé par Léon Blum avant la signature des accords des 30 septembre et 1er octobre 1938(39).

Industriels et responsables du gouvernement français, qui savent la paix très fragile, croient encore que l'intensification des échanges économiques avec l'ennemi d'hier pourra empêcher une guerre.

Je plussoie mariolotus... C'est très facile de juger maintenant, mais personne ne sait ce qu'il aurait fait dans de telles circonstances.

Ainsi, en mars 1939, Hervé Alphand, futur compagnon de route du général de Gaulle, dirige-t-il des négociations à Berlin « en vue d'accroître le volume des échanges et d'aboutir à un accord de tourisme » (40) . L'avenant signé le 10 mars 1939 entre Alphand et Wiehl légalise les échanges franco-allemands dans le territoire des Sudètes. Cinq jours plus tard, la Tchécoslovaquie est rayée de la carte, les négociations sont rompues et Alphand quitte précipitamment Berlin.

Pour donner quelque vraisemblance à la thèse de la collaboration active, Annie Lacroix-Riz se réfère plus particulièrement à la conversation Renault-Hitler de 1935 au cours de laquelle Louis Renault, soucieux d'entraîner son interlocuteur sur le chemin de la paix, évoque la nécessité d'une union économique européenne pour soutenir la concurrence américaine. L'historienne se fonde essentiellement sur un article de Patrick Fridenson daté de 1999 (41) . Désireux d'établir un lien de causalité entre l'attitude de Louis Renault pendant l'Occupation et celle qui fut la sienne avant-guerre, Patrick Fridenson avait alors commis un contresens. A partir d'une documentation lacunaire, il s'était en effet persuadé que Louis Renault souhaitait promouvoir des Etats-Unis d'Europe dominés par le couple franco-allemand. Et il en avait conclu, un peu rapidement, que l'industriel en était venu « à absolutiser... la société de consommation au détriment du combat pour l'indépendance nationale » (42) . Cette explication déterministe est remise en cause par les notes inédites de Louis Renault que j'ai publiées l'année suivante, lesquelles montrent qu'en 1936, l'industriel était favorable à une union entre l'Allemagne et l'URSS, et que son projet d'Union européenne ne comportait aucune exclusive d'ordre politique, social ou religieux.

Dans un projet de note du 20 mars 1936, il affirmait ainsi qu'une « Fédération européenne » était le seul remède à la crise que traversait le continent :

« Avec l'économie de l'Europe totale, tout est possible. On vous dit que la Russie ne peut être un exutoire pour les produits occidentaux, car elle n'a pas de besoin. On peut aider la Russie à s'organiser, faire des routes, organiser ses terres, etc. Pourquoi le refuserait-elle ?... La France, sans désarmer avant les autres, doit essayer cette Fédération économique... » (43) .

Dans un projet de note composé le lendemain, le constructeur insistait à nouveau sur la complémentarité économique qui permettrait d'associer pacifiquement l'Allemagne et l'URSS au sein d'une communauté européenne. Il précisait en guise de conclusion :

« Il faut que la fédération économique des pays d'Europe soit faite en dehors de toute idée de nation ; dans un but purement humanitaire et social ; que tous les partis y adhèrent sans esprit de lutte, de passion politique ou religieuse... » (44).

Prôner la création d'une Fédération économique européenne « en dehors de toute idée de nation » n'est pas à proprement parler une référence d'extrême droite, ni dans les années trente, ni même aujourd'hui.

A cette date, ce n'est d'ailleurs pas avec l'Allemagne nazie que le groupe Caudron-Renault organise un partenariat commercial, concernant du matériel civil et militaire, mais avec l'URSS de Staline (45) ...

Dans ses diverses interventions, Patrick Fridenson n'a pas non plus cité une note essentiel de Louis Renault, intitulée Trois Réformes, qui est en consultation libre à la Société d'Histoire du Groupe Renault depuis sa fondation, et dans laquelle l'industriel condamnait clairement les aventures fascistes et communistes :

« Rien ne tient longtemps de ce qui est injuste et démesuré, écrit-il en 1937. Mais pour réaliser des réformes justes et mesurées, la violence et la hâte ne sont guère indiquées. Et qu'attendre de durable et de bon d'un bouleversement, d'une révolution de droite ou de gauche puisqu'on en voit maintenant ailleurs les résultats ?

« Avec beaucoup de misère et de sang versé, la liberté perdue, une révolution fasciste ne change rien qu'en surface, une révolution socialiste, après avoir paru tout changer, revient à ce qui s'est toujours fait » (46).

Voilà ce qu'écrivait l'homme accusé d'être un terroriste d'extrême droite et ce, à une époque où tant de contemporains se laissèrent séduire par les extrêmes.

Lorsqu'en 1937, Louis Renault projette de créer un Comité d'études, de diffusion et de réalisations sociales, il précise dans le préambule : « Il est entendu qu'aucune question politique, de religion ou de parti ne devra être au programme » (47).

Enfin, au mois de février 1935, date de l'entretien avec le chancelier Hitler, l'Allemagne n'a pas ouvertement réarmé et la Rhénanie ne sera remilitarisée que l'année suivante. Le fait d'utiliser un échange de 1935 pour jeter la suspicion sur la position de Louis Renault pendant l'Occupation est aussi anachronique et tendancieux que de placer au centre de la Mémoire d'Oradour-sur-Glane une photo prise avant-guerre au salon automobile de Berlin pour illustrer un massacre de masse.

Mais restons-en au contexte des années trente. Voici, à titre de comparaison, ce que Maurice Thorez, dirigeant du PCF, déclarait devant les militants communistes des usines Renault, le 2 septembre 1936, c'est-à-dire un an et demi après la rencontre Renault/Hitler, et au moment même où le IIIème Reich réarmait :

« Il faut s'entendre avec l'Italie... en dépit de la dictature fasciste » et « même avec l'Allemagne de Hitler » : « Je suis prêt moi-même à parler avec Hitler, si ce dernier offre enfin la garantie que ses paroles de paix ne sont pas destinés à voiler ses actes de guerre » (4.

Le dirigeant communiste profita de l'occasion pour renouveler sa profession de foi pacifiste, soulignant qu'il était hors de question de suivre « Hitler sur le terrain où il veut engager l'Europe : la course aux armements et à la guerre » (49).

Léon Blum déclarait quant à lui devant le Sénat, le 23 juin 1936 : « Le chancelier Hitler a eu plus d'une fois l'occasion d'exprimer son désir de parvenir à un accord avec la France. Nous n'avons pas l'intention de mettre en doute la parole d'un ancien soldat qui a connu pendant quatre ans la misère des tranchées » (50).

Annie Lacroix-Riz fonde enfin sa thèse sur une anecdote, émanant d'un ancien plumitif de la Révolution nationale, Marc Augier, rédacteur en chef du journal collaborationniste La Gerbe, qui, sous le pseudonyme de Saint-Loup, a consacré une biographie au constructeur automobile à la demande de sa veuve (51). D'après ce biographe, la formule "Hitler m'a dit", aurait servi à baptiser Louis Renault à la fin des années trente, formule piteuse colportée non seulement par Saint-Loup, mais aussi par François Lehideux, ancien ministre de Pétain et neveu par alliance de l'industriel, dont le témoignage douteux est souvent retenu à charge contre Louis Renault(52). Voici donc une militante communiste qui, pour servir sa thèse idéologique anti-patronale, appelle à la rescousse le témoignage suspect d'un ancien membre de la Waffen SS....

"Trouver le moindre semblant d'étude objective sur le site dédié à ton idole, c'est un peu comme demander à un évêque d'aller chercher dans la bible voir si Jésus ne se serait pas lavé les mains avec Ponce Pilate avant d'aller au méchoui ensemble. "

Sauf que les faits rapportés PAR DES HISTORIENS qui ont consacré une bonne partie de leur vie à étudier la question de Louis Renault pendant la 2nd GM, sont prouvés, chiffrés et documentés! tu as quoi toi en face? 2 photos sorties de leur contexte.
Lorsque tu auras des preuves un minimum tangibles, on pourra commencer à discuter. Pour le moment, tu n'as absolument rien, tu es dans l'à peu près, le "on dit que"...
Quant à la perte du procès des petits enfants de LR, ce n'est pas vraiment une perte de procès, car le tribunal s'est déclaré "incompétent à juger". En gros ils ne veulent pas juger. Car tu imagines si le tribunal venait à donner raison aux petits enfants de LR, la somme que l'état devrait leur verser pour la confiscation abusive des usines? ça se chiffrerai en 10aines de milliards d'€!
Car oui, il y a eu confiscation abusive des usines. On a condamné un mort! oui un mort! C'est le seul et unique cas dans l'histoire dans un pays de droit... Mais que tu cautionnes une telle chose ne me surprend guère...

Tu sais, il doit rouler en Golf ou en Ford, avoir de l'électroménager Bosch ou Krupps,etc, etc...

tien puisque tu parles de Ford, c'est assez drôle que lui, nazi convaincu (Henri Ford a été le plus important donateur étranger au parti nazi et a même été décoré par Hitler), n'a absolument pas été embêté après la guerre et que ses usines ne lui aient pas été confisqué...

Renault72
Heureusement, il reste Chevrolet pour le rêve Américain!!!

@ mariolotus, ok je n'avais pas compris alors, à ce sujet, je conseille le doc de Canal+ "100% Made in France", c'est ahurissant

Il n'y a pas que nous qui en avons marre du manque chronique de spectacle en F1 :
http://www.actuf1.com/article/31630

@mario, nous sommes sur un site Renault (au cas où tu ne l'aurais toujours pas compris), donc parler de Louis Renault ne me semble pas hors sujet.
Par contre, parler de ce qui fait que l'Allemagne d'aujourd'hui est en apparence en meilleure santé que la France, ça effectivement, ça n'a pas sa place ici.
Mais visiblement tu as quelques lacunes de lecture, comme pour conclure d'un article que tu as certainement lu dans la presse, que PSA est chinois...

On se demande bien ce qu'il va rester au final

http://www.actuf1.com/article/31841

personnellement, plus que de voir des dépassements, ce qui m'intéresse, c'est qu'il y ait du suspense quant au vainqueur!
S'il y a 50 dépassements derrière mais que le vainqueur est connu dès le départ, ça n'a aucun intérêt pour moi!
Avec les ravitaillements, il y a plusieurs stratégies possibles, et le premier au départ peut se retrouver bloqué derrière une voiture moins rapide mais avec une meilleure stratégie...
l'idéal pour moi serait de retourner au règlement de 2005! Un seul train de pneu pour toute la course (avec des pneus qui tiennent le pavé et qui sont endurant, le manufacturier en sortirait grandi) mais avec la possibilité de ravitailler en essence! là on aurait du suspense comme à Suzuka 2005 où Raikkonen double Fisichella au début du dernier tour!

"avec des pneus qui tiennent le pavé et qui sont endurant"

Souvent, ça va pas trop ensemble quand même... Même si on est d'accord que les manufacturiers peuvent faire beaucoup mieux que Pirelli actuellement!

@Fab, les Michelin de 2005 étaient tout de même pas mal!

de même que leur gamme LMP1 aujourd'hui où les mecs font des quadruples relais à fond au Mans!

Je suis persuadé que Michelin arriverait à faire des pneus performants qui peuvent durer tout un GP! C'est d'ailleurs ce qu'ils veulent faire si leur candidature est retenue par la FIA.

Si c'est pour avoir un seul train de pneus autant faire de l'endurance, non ??

Les stratégies se sont aussi avec les arrêt aux stands. Des fois les équipes pour gagner savent qu'il faut faire under cup, ça fait partie du jeu

j'hallucine !
A votre avis, pourquoi la FIA a-t-elle demandé à Pirelli de fabriquer des pneus en chewing gum ?

Pourquoi la FIA a-t-elle banni les ravitaillements ?

Pourquoi a-t-on introduit le DRS ?

Les suiveurs de la F1 ont la mémoire courte et ont visiblement oublié la F1 de 2010 avec ses pneus en bois qui tenaient 40 tours ou le GP complet ! Ils ont oublié la F1 pré 2010 avec ses dépassements presque uniquement dans les stands à cause des ravitaillements ! Quand je lis les critiques sur le manque de dépassement ... il faut vous rafraichir la mémoire en regardant un ancien GP et vous constaterez que les dépassements sont nombreux actuellement en F1 comparé à avant 2011, les chiffres le prouvent !

Je ne suis pas vraiment enclin à assister au retour de Michelin en F1 qui produira à n'en pas douter un pneu trop "technologique" (les compétences du manufacturier ne sont plus à démontrer), capable de durer toute la course, qui au final sera néfaste pour le spectacle, c'est ma crainte.

"vous constaterez que les dépassements sont nombreux actuellement en F1 comparé à avant 2011, les chiffres le prouvent !"

* en fait c'est surtout vrai par rapport aux saisons 2012 et 2013, mais depuis les pneus sont devenus plus durs, au détriment du spectacle ...

15% pour un groupe chinois et 15% pour l'état français et toi tu en conclus que PSA est chinois... chapeau!

Quant à une éventuelle augmentation de la participation du groupe chinois dans le capital de PSA, l'état français ne se laissera surement pas faire et bloquera toutes tentatives des asiatiques. Pour un chef d'entreprise avec autant d'expérience, tu sembles avoir quelques soucis avec des principes de bases de l'économie industrielle...

Pour les pneus et les ravitos, je me répète, moi ce n'est pas des dépassements que je veux, mais du suspense! Qui en a quelques choses à faire lorsqu'une FI double une Sauber pour le gain de la 15ème place? Regardez donc quelques GP de 2005 où les pneus devaient faire toute la course et où les ravitaillements étaient autorisés. rien qu'en y pensant comme ça, 3 GP me viennent à l'esprit: Imola, Nurburgring et Suzuka. Et il y en a surement eu d'autres.

Parce qu'il faut savoir que l'effet pervers avec des pneus qui ne tiennent pas dans le temps comme les Pirelli, et bien c'est que l'on se retrouve avec des pilotes au ralentit pour économiser leur pneus. Avec des Michelin de 2005 améliorés, pas besoin d'économiser. C'est maximum attaque du début à la fin.

"Hé oui, ils sont comme ça les chefs d'entreprises, ils sont bêtes, ils ne comprennent rien, ils prennent des décisions débiles."

Ceux qui pensent qu'une entreprise est chinoise quand un groupe chinois ne détient que 15% de cette entreprise et l'état français 15% aussi, alors oui, ceux là sont des idiots.
Alors tu peux essayer de te dépatouiller comme tu veux, mais t'as voulu jouer au malin en insinuant que PSA n'était plus qu'un vulgaire groupe chinois, mais tu t'es lamentablement vautré. Tu ferais mieux d'assumer plutôt que de raconter des conneries. Parce que si tu considères PSA chinois, alors tu dois aussi considérer le très allemand groupe VW qatari puisqu'ils possèdent 25% de VAG... Pour le comparatif X6 contre Kadjar, tout dépend du terrain... parce que quand on voit que Porsche a eu besoin d'un Duster pour sortir un Maccan ensablé dans le désert lors d'une journée presse...

http://www.turbo.fr/actualite-automobile/695706-porsche-macan-vs-dacia-duster-drole-match/

Marca f1 annonce Renault f1 team enstone pour Silverstone juillet http://www.marca.com/2015/06/06/motor/formula1/gp-canada/1433573658.html

@gosswilliams
j'adore cette annonce

"et souvent pour des foutaises alors que tu as tort."

tu peux me rappeler qui a écrit ici que PSA était une entreprise chinoise? Ce n'est certainement pas moi. Je suis très loin d'être un amateur de Peugeot ou de Citroen, mais il me paraissait important de te remettre à ta place lorsque tu sous-entendais de manière à décrédibiliser PSA que ce n'était maintenant plus qu'une bande de vulgaires chinois.
@gosswilliams, ça semble avancer en effet cette histoire, mais Marca raconte souvent des conneries, donc méfiance. D'ailleurs mario aurait fait un excellent rédacteur en chef là bas...

Max la menace recule de 15 places au lieu de 5 car il est obligé de changer de moteur (5eme).

quidam les lotus ont l'air en forme non???

@mano : les Lotus vont mieux dans les virages lents, c'est bon signe. Vmax de Grosjean : 339,6 Kmh ! (avec DRS probablement).

avec DRS et un peu d'aspi sur ??? avant qu'il ne le laisse passer