Si cela ne faisait guère de doute, Renault Sport F1 sera bien le motoriste de Red Bull pour les deux années à venir. Le Président du motoriste français, Jean-Michel Jalinier, est sorti de son silence pour commenter et rassurer sur l’état de la relation entre les deux entités, après les déboires du V6 au Losange au Grand-Prix d’Autriche.
" Nous avons un contrat de trois saisons avec Red Bull Racing, qui ne prend fin qu’après 2016 ", rappelle Jean-Michel Jalinier à Speed Week. " La coopération entre les deux équipes techniques est bonne. "
Renault ne compte cependant pas abandonner 2014 dès à présent mais concède vouloir concentrer de nombreuses ressources sur la prochaine campagne. " Nous travaillons sur le moteur de cette année afin de rattraper nos adversaires, tout en concentrant beaucoup d’efforts sur le projet 2015 ", poursuit le français.
" J’ai le sentiment que nous allons atteindre le niveau de Mercedes d’ici la fin de la saison, et que nous aurons une voiture très compétitive l’an prochain ", ajoute-t-il.
Renault ne partira pas d’une feuille blanche pour 2015. Le prochain Energy-F1 sera plus une évolution qu’une révolution, comme se plaît à le dire Jean-Michel Jalinier. " Le moteur de 2015 sera une évolution et non une révolution. Ça ne veut pas dire que nous n’allons pas étudier toutes les architectures possibles ", précise-t-il en référence à la possibilité de reprendre l’architecture Mercedes.
Le Président de Renault Sport F1 n’a pas souhaité commenter davantage les rumeurs autour d’une relation tendue avec Red Bull, préférant miser sur la piste pour les faire taire. " Vous verrez, toutes les rumeurs disparaîtront ", conclut-il.
Pas réellement de surprise, Mateshitz évoquait un préparateur autrichien comme éventualité mais il faudrait forcément 4 ou 5 ans avec un budget massif pour en faire un motoriste F1 et encore bien plus pour être compétitif.
Honda sera un concurrent pour Renault en 2017 par contre, surtout si McLaren ne remonte pas la pente. Le spectre de 2007-08 doit hanter Honda...
podcast de Renault sport
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Purée, et dire que les véritables victimes, au sens professionnel et non économique du terme, ce sont les ingénieurs de Renault Sport qui voient leur image écornée à cause de la situation financière du Groupe.
Cette petite remarque a pour but de faire prendre conscience a certains que la F1 est désolidarisée du monde de la production en série d'un point de vue TECHNIQUE, mais d'un point de vue FINANCIER, le lien de causalité est direct.
Donc oui, c'est bien à l'Alliance Renault-Nissan et à ses gestionnaires qu'il faut dire merci pour cette saison calamiteuse.
29 Novembre-01 Décembre 2024
Essais Libres 1
14:00 - 15:00
Sprint Shoutout
18:00 - 19:00
Sprint
14:00 - 15:00
Qualifications
18:00 - 19:00
Course
18:00 - 20:00
06-08 Décembre 2024
On a lu LA FRANCE EN FORMULE 1 (avec du contenu sur Renault et Alpine)
Le rêve de Vegas se transforme en cauchemar pour Alpine-Renault
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