Fin 2009, l'équipe Renault était à la recherche de nouveaux pilotes pour remplacer Fernando Alonso - sur le départ pour Ferrari - et Romain Grosjean. L'écurie française avait fait signer Robert Kubica et négociait avec de nombreux prétendants pour le second baquet, avec parmi eux, le pilote Toyota Timo Glock. Lors du Grand-Prix d'Abu Dhabi, dernière manche de la saison, l'allemand avait un contrat sur la table et pour beaucoup, la signature n'était qu'une formalité. On se dirigeait donc vers un duo Kubica-Glock pour 2010 chez Renault.
Et pourtant, Timo a refusé l'ultime offre du losange pour ensuite s'engager au sein de la nouvelle et petite structure Virgin Racing. Un choix notamment motivé par l'affaire "Crashgate" impliquant Renault ainsi que l'avenir incertain du losange en Formule 1. Aujourd'hui, l'écurie devenue Lotus se bat régulièrement pour la victoire, au contraire de son équipe, engluée dans le fond de grille. Mais l'allemand ne regrette pas sa décision.
"Dans la même situation, je referais la même chose maintenant", explique Timo Glock à Motorsport-Total.com. "Quand je prends une décision, et je sais pourquoi j'ai pris cette décision, il n'y a aucune raison de se demander ''Et si'' après coup. Je suis le seul à connaître la situation telle qu'elle était, personne d'autre ne le sait. Ma décision était entièrement correcte."
Il est clair qu'en rejoignant Renault, l'actuel pilote Marussia aurait probablement eu une autre carrière, d'autant que l'écurie avait fortement progressé en 2010 et que la saison 2012 est extrêmement satisfaisante. Les troubles politiques dans lesquels le losange était alors plongé en ont décidé autrement, pour le plus grand bonheur de Vitaly Petrov, l'heureux élu pour le deuxième baquet chez Renault.
Avec Mercedes, Alpine construit son après Renault et n'aura plus d'excuses
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