En partant depuis les très lointaines 18e et 20e positions, les deux Nissan Onroak Dpi de l’équipe Tequila Patron ESM se savaient condamnées à l’exploit pour obtenir un résultat probant à l’occasion du Rolex 24 at Daytona. Un rêve que les membres de la structure américaine ont cru toucher du doigt, avant que la réalité ne les rattrape à la mi-course, avec l’abandon successif des deux autos sur problème technique.
Déception pour Nissan ce week-end, à l’issue de ces 24 heures de Daytona remportés par Cadillac. Le constructeur japonais a de quoi être frustré, après avoir concédé le retrait de ses deux représentants. La Nissan Onroak Dpi n’a pourtant pas démérité. Contraint de remonter un à un ses concurrents, le prototype tout de vert vêtu a également dû composer avec une météo capricieuse et des pneumatiques Continental particulièrement fragiles, à l’origine de plusieurs crevaisons chez Nissan mais également sur les autos concurrentes.
En dépit de ces péripéties, les deux Nissan ont rapidement grimpé dans le classement jusqu’à atteindre la deuxième position sur le jeu des arrêts aux stands, tout en consolidant sa présence dans un top 5 qui semblait largement à sa portée.
Ce qui était vrai jusqu’à la douzième heure ne l’était plus au-delà, avec l’apparition de problèmes techniques sur les deux voitures. Victime d’un ennui de boîte de vitesses, la #2 renonce au milieu de la nuit, quand la #22 en fait de même peu de temps après sur une panne moteur. Ce soir, Nissan et ses membres ne peuvent cacher leur déception avec le sentiment d’avoir loupé un beau résultat.
" Je me sens si mal pour l’ensemble de l’équipe Tequila Patron ESM, pour Patron, Onroak, Nissan et bien sûr tous nos gars ", explique Scott Sharp, pensionnaire de la #2. " Les deux voitures étaient bien présentes pendant cette course et nous avions le sentiment que si nous étions exemptés de soucis, nous pourrions être des prétendants, c’est vraiment dommage… "
" Nous avions définitivement la vitesse ici aujourd’hui mais les deux voitures ont connu des problèmes à mi-parcours, c’est la course, en particulier à Daytona ", renchérit de son côté Ryan Dalziel, également sur la #2.
En dépit de ce double abandon, ces 24 Heures de Daytona ont mis en évidence les qualités de la Nissan Onroak Dpi, capable d’afficher des performances de premier plan. Les hommes de Tequila Patron ESM vont d’ailleurs capitaliser sur cet élément positif pour rebondir dès la prochaine épreuve à Sebring.
" C’était vraiment difficile d’abandonner après un tel effort. Nous nous sommes battus pour revenir après quelques crevaisons, et nous avions la place pour nous battre pour la victoire. Dès maintenant, nous allons nous focaliser sur les 12 Heures de Sebring ", précise Nicolas Lapierre.
" Mes équipiers et toute l’équipe Tequila Patron ESM ont fait un travail incroyable. Nos pensées sont maintenant déjà tournées vers Sebring ! ", ajoute pour sa part Olivier Pla.
Rapide, Nissan et son équipe vont maintenant devoir se pencher sur la fiabilité, qui a tant fait défaut tout au long de cette épreuve. Avec on l’espère de sérieux progrès pour la prochaine course programmée les 14-17 mars à Sebring.
Copyright Notice: Copyright 2016 BTP (Photo by BigTom O'Connor/BigTom Photography
La vraie question à se poser : est-ce un engagement officiel ?
Je comprends ce que veut dire mario avec: « Pas de moteur noble ».
Ce n’est pas une histoire de limitation de vitesse.
Ça ne concerne pas seulement Renault mais en général les marques françaises.
C’est une tare inscrite dans nos gènes depuis des décennies.
Malgré nos implications avec succès en sports mécaniques, nous avons jamais été capables de sortir une voiture de série qui fasse rêver.
Surtout au niveau mécanique.
Il suffit d’écouter cette Audi TT RS à 5 cylindres Turbo de 400 Chevaux.
Audi n’est pas en F1, on pourrait s’attendre à ce que Renault sorte ce genre de moteur.
Mais non !
Renault arrive en F1 avec le Turbo V6, innove avec un V10 puis V8 et enfin l’hybride V6 Turbo.
Qu’avons nous ensuite dans ses voitures de série ?
Je me répète, mais la Golf GTI avec tous ses défauts, a tiré toute la gamme Golf et en a fait sa renommée.
Derrière Renault et Peugeot, ont tenté de rattraper en ramant comme des malades.
Pour véritablement monter en gamme de moteur, on est obligé d’aller « pêcho » ailleurs !
Tout juste bon à fabriquer un V6 PRV qui tournait comme une patate et qui malgré des améliorations successives sur des années, n’a jamais pu concurrencer le V6 Alfa ou L6 BMW.
Citroën avec sa magnifique SM, est allé lui greffer un 6 cylindres Maserati.
Puffff !
Lamentable.
Aujourd’hui, ils se réveillent un peu mais c’est trop tard.
Une question.
Est il possible, sur la nouvelle Alpine A310, de monter le moteur de cette TT RS ?
Bein quoi !
On dira rien à personne. On dira que c’est Français !
Je suis un adepte de Alonso. et me satisfait de cette annonce.
Je ne sais quelle aura à ce type au sein de son écurie.
Il semble qu'on cède à tous ses caprices.
Ce genre de mic mac semble impossible ailleurs.
Il y a des risques. Kubica en a fait les frais.
Le père Sainz a demandé à son fils d'être prudent.
A vouloir tout, on peut arriver à rien.
Finalement, il humilie bel et bien Honda en roulant pour Toyota. La meilleure nouvelle possible pour le WEC !
Citroën avec sa magnifique SM, est allé lui greffer un 6 cylindres Maserati.
Puffff !
Lamentable.
Ouais, sauf qu'a l'époque Maserati était propriété de Citroen, il voulait pas aller le chercher ailleurs.
Y'a meme eu 1 ou 2 SM avec des V8 Maserati, qui fut détruite le propriétaire suivant : De Tomaso
Le préparateur Daunat en a reconstruis une
Merci HH66.
J'apprends des choses intéressantes.
Une SM V8 Maserati.
Oaouuuuuuhh !
Mais en gros......, tu confirmes ce que j'avance.
Ouais, si Maserati était propriétaire de Citroën, il aurait pu trouver au sein de la marque un moteur noble pour cette magnifique voiture.
Que neni et boules de gomme !
Nada que t'chi !
Ohé, y a quelqu'un !
Le V6 maserati était un V8 (des coupé Merak ? ou Bora ?) auquel les ingenieurs Italiens ont retiré 2 cyl pour Citroen, d'ou son angle à 90°.
Point commun avec le V6 PRV qui lui à la base devait étre un V8
Exact.
Ce qui est à l'origine des problèmes d'équilibrage du V6 PRV qui était loin de tourner comme une horloge lui causant des débuts difficiles.
Et le V6 PRV , pas noble du tout, mais qui détient (enfin, peut étre juste le bloc)le record de vitesse aux 24 h du mans.
405 Km avec la WM
Je ne conteste pas mais l'accent ici est porté surtout, sur des moteurs qu'on pourrait trouver dans des voitures de série.
Malheureusement, il faut avouer qu'il n'y en a pas pléthore dans notre bel hexagone.
Voire pas du tout.
Il faut dire que c'est la faute à la révolution de 1789.
On a trop coupé le noble à cette époque.
Qu'on aime Alonso ou pas, il faut lui reconnaitre sa passion intacte pour le sport automobile et son audace pour ce nouveau défi.
Son arrivée en WEC est un gros coup de boost médiatique pour une série qui en avait bien besoin après les départs d'Audi et Porsche.
22-24 Novembre 2024
Essais Libres 1
03:00 - 04:00
Essais Libres 2
07:00 - 08:00
Essais Libres 3
03:00 - 04:00
Qualifications
07:00 - 08:00
Course
07:00 - 09:00
29 Novembre-01 Décembre 2024
06-08 Décembre 2024
Officiel - Les Alpine seront propulsées par des moteurs Mercedes en 2026
Officiel - Les Alpine seront propulsées par des moteurs Mercedes en 2026
Officiel - Les Alpine seront propulsées par des moteurs Mercedes en 2026
Officiel - Les Alpine seront propulsées par des moteurs Mercedes en 2026
Officiel - Les Alpine seront propulsées par des moteurs Mercedes en 2026
Officiel - Les Alpine seront propulsées par des moteurs Mercedes en 2026
Officiel - Les Alpine seront propulsées par des moteurs Mercedes en 2026
Officiel - Les Alpine seront propulsées par des moteurs Mercedes en 2026