L'actualité sportive de Nissan se fait plutôt discrète sur la scène internationale. Ce n'est toutefois pas le cas au Japon, où la marque partenaire de Renault affiche un dynamisme à toute épreuve. Fer de lance de son engagement en sport automobile, sa participation en Super GT a pris un nouveau tournant en ce mois de novembre, avec la révélation d'une nouvelle machine destinée à disputer la campagne 2017.
C'est en marge de l'ultime épreuve de la saison, à Motegi, que Nissan a présenté la GT-R GT500 qui succède au bolide du même nom. L'introduction, la saison prochaine, d'une réglementation limitant les appuis aérodynamiques - près de 25% en moins - ont contraint les constructeurs à revoir leur copie et à chercher des solutions pour compenser cette perte. Chez Nissan, le développement s'est concentré sur l'élévation de la puissance de son auto et sur l'optimisation de la distribution du poids.
En dépit de la réduction de l'efficacité aérodynamique avec notamment un port-à-faux plus court, la GT-R GT500 n'en reste pas moins un monstre visuellement impressionnant. Ses multiples ailettes, ses nombreuses aérations et ses extensions d'ailes ravageuses participent à cette allure "bête de course". Il faut bien ça pour supporter un moteur turbocompressé de 2.0 litres de 4 cylindres développant plus de 600 ch. Avec un poids total d'environ 1000 kg, l'auto a de quoi donner de belles sensations !
Nissan nourrit de fortes ambitions avec son nouveau bolide. Défait en 2016 de ses titres acquis en 2014 et 2015, l'écurie japonaise entend prendre sa revanche la saison prochaine. "Nous allons faire de nombreux progrès durant les essais hivernaux avec pour objectif de créer une voiture qui marquera de son empreinte le sport automobile", raconte non sans ambition le patron de Nismo, Takao Katagiri.
La Nissan GT-R GT500 a déjà eu l'occasion de mener ses premiers essais. Elle fera sa première sortie officielle en décembre, pour le Nismo Festival, avant de poursuivre sa mise au point.
Nissan sera confronté en 2017 à ses habituels adversaires que sont Lexus (LC500) et Honda (NSX GT).
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C'est la réglementation qui l'impose. Elle sera commune au DTM notamment sur les specs moteurs.
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